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Les Bilans Psychométriques et de Personnalité

Votre enfant, ou adolescent, a des difficultés scolaires (résultats, comportement...) ? Il se sent en décalage, il manque de confiance ou d'estime de soi (avec l'impression d'être "différent", rejeté... avec hypersensibilité, problèmes de harcèlement...) ?

Il a des difficultés dans les apprentissages, souffre peut-être d'un trouble "dys..." (dysorthographie, dyslexie, dysgraphie, dyscalculie, dyspraxie, dyspraxie neurovisuelle...)

 

S'il est en souffrance, il est nécessaire qu'il fasse un Bilan Psychologique.

 

Le Bilan de Personnalité

Pour sonder la sphère relationnelle, émotionnelle et intrapsychique, les psychologues utilisent des tests de personnalité, dits "projectifs". Le bilan de personnalité évalue les processus affectifs sous-jacents de la personnalité. Il comprend un test projectif adapté à l’âge de la personne (Patte Noire, CAT, Rorschach pour les enfants; TAT ou Rorschach pour les adolescents ou les adultes), auquel s’ajoutent d'autres tests (dessins ou une autres épreuves...).

Le bilan psychologique est comme une photographie à un instant donné des capacités cognitives et du fonctionnement psychique de la personne. Ces résultats sont susceptibles d’évoluer dans le temps selon le développement psychologique et affectif de l'enfant ou du jeune. Ses difficultés et sa souffrance sont au centre du travail, il n'est pas question d'étiquetter de façon définitive le sujet.

Le bilan peut-être réalisé indépendament, sans test du quotien intellectuel. Il s'agit alors d'un bilan psychologique de personnalité.

Le Bilan Psychométrique

Les échelles de l'efficience intellectuelle sont la base du bilan psychométrique. Elles  permettent de calculer le quotien intellectuel (QI), d’analyser les capacités cognitives et intellectuelles de l'enfant, comprendre quel est son fonctionnement, où se situent ses difficultés et de mettre en évidence une éventuelle précocité intellectuelle (intelligence différente et parfois moins adaptée aux normes sociales).

Les performances intellectuelles sont analysées afin de déterminer dans quels domaines il est performant ou moins à l'aise (points forts et points faibles). Le bilan permet de comprendre ce qui peut le mettre en difficulté (troubles dys...?) et de proposer des aménagements de la pédagogie et des apprentissages scolaires, proposer aussi une éventuelle prise en charge auprès d'autres professionnels (relais) ainsi qu'un suivi adapté.

Le profil est soit homogène (permet d'obtenir un QI chiffré), soit hétérogène (écart entre les différentes échelles qui ne permet pas d'établir un score moyen) mais dans les deux cas, il est possible d'en dire quelque chose et d'interpréter les résultats. Lors du dernier rendez-vous, un document écrit confidentiel est remis à l'enfant et à ses parents.

Il ne faut pas oublier qu'au-delà de la "mesure" de l’intelligence le bilan de l’efficience intellectuelle est représentatif du profil psychologique de l'enfant à un instant précis, il doit être fait en tenant compte de son état émotionnel. Il se complète donc de tests projectifs qui permettent de définir son profil psychologique complet, mettant en avant ses atouts, ainsi que ses difficultés dans différents domaines (affectivité, maturité...). L’analyse des épreuves projectives liées au test psychométrique, va permettre de comprendre pourquoi et comment le sujet ne peut exploiter au mieux ses ressources intellectuelles. Pour ces raisons, je propose toujours un bilan complet lorsqu'il s'agit d'une demande d'un bilan psychométrique (test QI + test projectif).

La dyspraxie

La dyspraxie est un  handicap peu connu, difficilement décelable, encore mal diagnostiqué et peu traité.

La dyspraxie est un dysfonctionnement neuropsychologique non verbal qui toucherait environ 6% des enfants. 

Il existe différentes formes de dyspraxie : La dyspraxie gestuelle ; la dyspraxie constructive ; la dyspraxie visuo-spatiale.

Concrètement, la dyspraxie est un dysfonctionnement de la planification et de l’automatisation d’une praxie, c’est-à-dire du savoir faire d’un geste volontaire que l’enfant dyspraxique n’arrivera pas, malgré des efforts répétés, à programmer de façon automatique.
On parle de « maladresse pathologique ».

La dyspraxie a souvent un impact très néfaste sur le développement de l’estime de soi. Parce que les habiletés physiques et sportives sont grandement valorisées en âge scolaire, l’enfant dyspraxique se fait souvent rejeter. Il a un fort sentiment d’être incompétent dans presque tout ce qu’il fait et il croit qu’il ne peut rien faire comme les autres. Ceci a pour conséquence qu’il a tendance à éviter les activités de groupe, se retirer et se replier sur lui-même et parfois même sombrer vers la dépression.

Pour toutes ces raisons, un accompagnement psychologique s’avère important pour ces enfants.

 

La précocité intellectuelle 

L’enfant précoce n’est pas seulement un enfant quantitativement plus intelligent, mais un enfant qui dispose d’une forme d’intelligence qualitativement différente. Son mode de pensée, ses procédures de raisonnement, sa perception et son analyse de l’environnement se distinguent significativement de la norme. Plus de 5 % des enfants sont à haut potentiel ! Souvent, ils ne bénéficient pas d’une prise en charge spécifique, pourtant indispensable à leur épanouissement. Malgré un QI supérieur à 130, 30% d’entre eux sont en échec scolaire car ils ont une manière d’apprendre qui est significativement différente des autres, et qu'ils ne sont pas "adaptés" aux systèmes qui les entourent (notament le système scolaire).

Il est important de dépister très tôt cette précocité, pour en faire un atout et non un handicap. De l’aide des parents et d’un accompagnement adapté dépend l’avenir de ces "surdoués".

 

Vous avez l'impression que votre enfant est en avance sur tous les apprentissages ? Ou au contraire, il n'a parlé qu'à 2 ans ou semble s'ennuyer à l'école ? Autant de signes qui peuvent troubler les familles. 


Selon Arielle Adda, psychologue et auteure de "Le livre de l'enfant doué", la plupart des parents ne remarque pas les premiers signes indiquant une précocité. 


Pour vous aider à vous repérer, elle évoque les points communs aux enfants surdoués :

 "le premier signe, c'est d'abord un très bon langage et une vivacité de compréhension. Soit l'enfant parle très tôt, soit il parle plus tard mais très bien. La syntaxe est impeccable et le vocabulaire très précis."
 Le deuxième signe, c'est la curiosité. "Ce sont des bébés très sensibles à toutes les sollicitations, puis, très vite, ils posent beaucoup de questions et montrent une vraie soif d'apprendre" précise Arielle Adda.
  De manière générale, les psychologues remarquent également que "ce sont des bébés vifs, observateurs, qui aiment les échanges" note la spécialiste.  


Mais un tout autre profil est possible aussi. Jean-Charles Terrassier, psychologue et président fondateur de l'ANPEIP (Association Nationale Pour les Enfants Intellectuellement Précoces) explique : "Et pourtant, un profil d'enfant complètement différent - qui aura parlé tardivement puis soudainement de manière très structurée, qui se désintéresse de l'école, devient maussade, solitaire - exprime peut-être la même chose !".
Pour diagnostiquer de façon sûre la précocité de votre enfant, mieux vaut lui faire passer des tests avec un spécialiste.

 

Votre enfant, ou adolescent, a des difficultés scolaires (résultats, comportement...) ? Il se sent en décalage, il manque de confiance ou d'estime de soi (avec l'impression d'être "différent", rejeté... avec une grande hypersensibilité, des problèmes de harcèlement...) ? Il a des difficultés dans les apprentissages, souffre peut-être d'un trouble "dys..." (dysorthographie, dyslexie, dysgraphie, dyscalculie, dyspraxie, dyspraxie neurovisuelle...)

S'il est en souffrance, il est nécessaire qu'il fasse un Bilan Psychologique.

 

"Notre enfant présentait une grande souffrance à l'école. Un bilan a permi de comprendre son fonctionnement précoce différent. Katia Caisso nous a rassurés et donné des pistes pour l'aider sur le plan scolaire et relationnel. Nous la recommandons!"

Sonia et Stéphane M.

"Grâce à un bilan psychologique complet, nous avons découvert que notre fils de 10 ans, en échec scolaire, souffre depuis toujours d'une dyspraxie neurospatiale jamais diagnostiquée. Mme Caisso, après une écoute attentive, a réalisé des tests de QI et de personnalité. Elle nous a conseillé de poursuivre le bilan avec une orthoptiste qui a confirmé les problèmes neurovisuels. Depuis, des aménagements scolaires ont pu être mis en place, et surtout, nous savons que ses problèmes de lenteur sont dus à ce trouble spécifique, pas à un problème intellectuel, de maladresse ou de "fainéantise". Merci."

Maman de T.

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